« Je crois qu’il profita, pour son évasion, d’une migration d’oiseaux sauvages. » Ainsi, s’ouvre le premier tableau du Petit Prince. Un petit bonhomme tout doré, suspendu à un trapèze volant, s’élève au-dessus de la pesanteur de son logis, pour s’élancer dans l’inconnu d’une évasion. Au fil des chapitres, cette évasion revêt le visage d’un voyage avec ses haltes singulières et ses rencontres insolites. Saisissons la migration au vol. Laissons-nous transporter. Une lecture vue du ciel nous attend, celle qui permet de regarder le monde autrement.